[CR Solo/Exercice d'imagination] Black Sword Hack

[Erestor]

On est d'accord que ton PJ a un aspect Né le lendemain de la chance/grandiose destin de merde, nope ?

[Saarlander]

@Erestor , oh oui, il y a de l'agentivité dans sa malchance de ma part.

J'aime bien quand ça grince un peu, surtout que j'ai une chance aux dés assez variable.
Et comme c'est autant du JdR que de l'exercice d'écriture pour m'approprier le jeu, je trouve ça plus rigolo que d'essayer de jouer la classe internationale.

La Sword & Sorcery a souvent des héros pas tout à fait lisses, et le mien est aussi effectivement un gredin, donc en attendant de voir si il commence à se racheter un jour, il mérite un peu ses revers de fortune...

[childeric maximus]

Toujours aussi bon.
Merci.

[Saarlander]

[SAG avec désavantage] La créature m'atteint avant même que je n'aie pu dégainer ma lame, et des mandibules d'acier claquent sauvagement, brillant d'une humeur bleuâtre qu'elles semblent suinter en permanence. [DEX] Je roule sous son assaut, esquivant sa morsure et tirant ma lame au clair. Elles se tourne vivement sur ses pattes métallique, et de son abdomen articulé jaillit dans ma direction un jet de liquide pâteux [DEX], que j'évite d'une roulade rapide. Cette fois, je trouve un angle d'attaque, et me fends pour frapper [DEX-1], [d6] perforant légèrement sa cuirasse et entendant des rouages grincer. Je profite de cette ouverture pour plonger le plus profondément possible ma lame dans ses mécanismes internes, espérant en finir au plus vite. [Jet de Fatalité][DEX-1][d6+4] L'horreur mécanique émet des crissements sinistres, et convulse sous mon assaut. Ses pattes pointues cherchent à se saisir de moi, [DEX] et je paye mon audace à ne pas rompre le contact de profondes et douloureuses lacérations aux bras. Je tiens bon et me concentre sur les jets aléatoires et spasmodiques de l'abdomen, que je redoute davantage [DEX avec avantage]. Je force encore sur ma lame, essayant de la tourner dans la brèche pour déloger le plus de rouages et de pistons possibles [DEX][d6 avec avantage], jusqu'à ce que, dans un râle mécanique, la chose s'écroule dans un entrelacs de pattes désarticulées, et que les bruits de soufflets s'arrêtent enfin.
Lorsque je retire mon épée de sa carcasse, elle est maculée d'huiles et d'humeurs sombres. [INT]Tout en nettoyant ma lame, je m'interroge sur la provenance de ce monstrueux automate, ainsi que sur son obsession de ne s'en prendre qu'à moi… mais la fierté et la fureur du combat brouillent encore mes pensées.

Prudemment, les bateleurs réapparaissent, et contemplent le spectacle de ma victoire avec autant de soulagement que d'inquiétude.
Des questions fusent.
“ Qu'est-ce que c'était ?
“ Tu as beaucoup d'ennemis de ce genre ?
“ On est sûr qu'elle est morte ?

Mais le meneur reste coi, et vient avec circonspection examiner les restes de l'appareil. Il finit par trouver ce qu'il cherchait, et me désigne une glyphe sous la tête de la chose. Il m'interpelle d'un air grave.
“ Spadassin ! Cet artifice porte la signature des Seigneurs de la Loi. Tu as dû offenser quelqu'un de puissant, et t'attirer une ire redoutable. Il faut du pouvoir pour invoquer ce genre de créature. Jusqu'à présent, nous t'avons laissé garder tes secrets, mais maintenant nous voyons que le vieux fou n'avait peut-être pas tort…
[Jet d'usure de la Reconnaissance des bateleurs] Il marque une pause.
“ Nous ne pouvons plus faire route ensemble. Ce soir, nous allons panser tes blessures, et te laisser ta place auprès du feu, car tu as écarté le danger, et que nous te sommes encore redevables. Mais dès demain, nous te laisserons prendre de l'avance sur la route de Manduris. Nous ne parlerons de toi à personne, mais nos routes se séparent désormais.

Je reste silencieux pendant qu'ils s'occupent de mes plaies, même si je ressens une certaine colère à ce retournement de situation. Pendant un instant, je contemple même l'idée de les violenter pour leur prendre tout ce qu'il peut leur rester de précieux, mais non-seulement les sais-je réellement fauchés, mais de plus le peu de scrupules qu'il me reste me rattrape, et je me vois mal punir ces pauvres hères pour leur terreur légitime…

Aussi, après avoir profité de leurs soins, les laissé-je à leurs propres affaires, et commence plutôt à démonter les restes de la carcasse, pour voir ce que je pourrais en retirer de vendable.
[d6][Body Parts] La gemme de la tête se déloge avec un peu d'effort, il reste un poche encore lourde de l'humeur visqueuse de l'abdomen, tout un jeu de mécanismes de pinces délicates derrière les chélicères, et les mandibules humides qui sont assez finement ciselées pour faire de bons poignards. J'ai bon espoir que ce genre d'objets trouve des acheteurs à Manduris.

Je fourre le tout dans un sac que je prélève sans protestation dansle le chariot des bateleurs, traîne le reste de la carcasse hors de la route, puis vient me coucher près du feu. Et alors même que mes blessures brûlent encore sous mes bandages, je m'endors pourtant du sommeil du juste, et me réveille à l'aube rempli d'une énergie nouvelle. [Short Rest]

[Saarlander]

J'ai quitté les bateleurs sans un mot, et sans me retourner.
Le reste de mon chemin vers Manduris à été parsemé d'actes peu honorables, mais nécessaires à ma survie.
[DEX avec avantage] Je n'ai pas laissé de trace de mon passage, ni, dans le plus triste cas, de témoin. Il n'y avait guère de quoi s'enrichir, mais au moins je ne suis pas mort de faim…

Et enfin, au loin, j'aperçois les murailles et les tours de ma destination.
Mais le chemin de Manduris se révèle parsemé de potences et de cages, où cadavres et mourants se côtoient dans la puanteur.
Thanis-Lenath m'avait habitué à de tels spectacles, mais je ne peux m'empêcher de me demander qui, ici, tenait les rênes de ce qui faisait office de justice. Il était toujours essentiel de savoir qui ne pas offenser.

La dernière épreuve de mon voyage m'attend à la grande porte. Au milieu des paysans et des voyageurs, je me donne l'air le plus légitime possible, et fait l'effort de ne croiser le regard d'aucun garde. [DEX avec avantage]
Je réussis presque à franchir le passage quand un garde me saisit soudain par l'épaule.
Je reconnais l'Alashan quand il m'adresse une question sèche, mais les mots m'échappent. Avec espoir, je réplique en Thyrenian :
- Du calme, soldat. J'ai été mandaté pour affaires en ville… tu me comprends ? [Oracle] Son visage s'illumine lorsqu'il m'entend parler.
- Un Lenathi, ici ! Ma mère venait de Tanith-Lenath. Ça fait longtemps que je n'ai pas entendu cet accent !
Il redevient tout de même un peu sérieux.
- Je dois tout de même te demander ce que tu fais ici… et te demander la taxe pour l'épée.
Si près de mon but, je tente le tout pour le tout:
- Je suis au service d'un alchimiste d'ici. Nesgoth, peut-être que tu le connais ? C'est lui qui se chargera de mes frais. [Sophist: CHA]
- Je ne connais pas ton alchimiste, mais dans la rue des Chaudrons ils pourront sans doute te renseigner. Mais ça fera 5 pièces pour l'épée. À payer maintenant…
Je tente mon meilleur sourire, et à défaut de mensonge en réserve, me résout à la triste vérité.
- Il m'en reste 3, en tout. Le voyage a été difficile, et votre empereur taxe tout ce qui bouge… un prix pour un cousin ? [CHA avec avantage][Succès critique]
Il scrute mes traits tirés et ma maigre allure.
- Bon, allez, va. Garde tes trois pièces pour ton prochain repas. Bienvenue à Manduris, camarade !

D'une claque dans le dos, il m'expédie en avant, et je lui crie un remerciement, avant de me laisser happer par la foule en mouvement.
Avec un peu de chance, le plus dur est passé, me dis-je…

[childeric maximus]

Toujours très intéressant.
Merci.

[Saarlander]

Merci beaucoup pour l'intérêt et les encouragements, encore une fois

Il va y avoir un tout petit peu de lag pour la suite, qui est toujours en cours d'écriture/jeu. Mais les enjeux plus sérieux commencent à se pointer...

[Erestor]

Merci beaucoup pour l'intérêt et les encouragements, encore une fois

Il va y avoir un tout petit peu de lag pour la suite, qui est toujours en cours d'écriture/jeu. Mais les enjeux plus sérieux commencent à se pointer...

Quel art du teasing !

[Saarlander]

Quel art du teasing !

Carrément ! J'ai eu mon diplôme de comm dans une pochette surprise, depuis, je m'y accroche !

[Saarlander]

Voilà voilà, Saanak Ehng est enfin de retour !

Après quelques interruptions IRL qui ont un peu grignoté mes opportunités de jeu/écriture, j'ai enfin bouclé la troisième aventure de ce spadassin à la morale douteuse.

Je continue à publier ça de manière feuilletonnante ces prochains jours, pour plus de lisibilité.

[Saarlander]

Trouver Nesgoth l'alchimiste à été un peu fastidieux, mais pas si difficile.
Il se cachait des agents de la Guilde dans les bas-fonds du quartier des marchands , presque sous leur nez.
L'homme, plus jeune que je ne l'attendais d'un savant de son espèce, a accusé bonne réception du message de la sorcière, sans évidemment m'en révéler le contenu.
Il a ensuite offert généreusement de me loger, dans un débarras peu confortable, mais m'assurant la discrétion que je recherchais.
Avec son conseil, j'ai même pu trouver acquéreur pour les morceaux que j'avais prélevés de l'automate, ce qui m'a rapporté un peu plus de 300 pièces. Jamais je n'avais été aussi riche… et paradoxalement aussi peu enclin à me faire remarquer, ce qui m'empêcha de profiter de cette fortune nouvellement acquise en faisant fête.
Pendant les quelques jours qui suivirent, je me contentai de faire relativement bonne chaire en faisant mes courses sur le marché le plus proche, et de commencer à faire connaissance avec la ville…

[Table aléatoire d'événement: Redemption/Monument]
Manduris est peut-être plus grandiose et plus propre que Tanith-Lenath, mais en fin de compte tout aussi pourrie de l'intérieur. L'influence de la Guilde Marchande se fait sentir partout, et c'est là monnaie qui commande à la loi.
J'ai très vite développé un attrait plus particulier pour les quartiers populaires, ou, les occasionnels problèmes de langue mis à part, je n'ai pas de mal à me fondre dans la foule.
Pour éviter d'attirer l'attention, je laisse en général mon épée et mon arc chez Nesgoth, les remplaçant par une dague commune mais convenable, procurée clandestinement sur le marché noir pour une vingtaine de pièces.

Aujourd'hui, je me laisse à flâner un peu, même si ce serait mentir de dire que je ne sais pas où le hasard me mène, plus ou moins de mon propre chef…

Et voici que la place de l'obélisque noir se dresse devant moi. À cette heure froide de la matinée, seuls quelques mendiants et un ou deux marchands aux vêtements colorés se traînent ici, comme moi, à la recherche d'une vision accordée par le monolithe pour les guider vers l'avenir.

Silencieusement, je me mêle à eux, et à mon tour vient effleurer la surface glacée et lisse.
Je ne sais pas à quoi je m'attendais exactement, mais je suis déçu.
Aucune vision, pas même un tressaillement dans mon esprit.
Au lieu du bout des doigts, j'applique la main en entier. Puis mon front.
Rien.

Je vois les marchands, tout aussi désappointés, se retirer, un à un.
Quelques mendiants les interpellent en prétendant, contre quelques pièces, leur révéler les secrets de l'obélisque, mais les dépités leur battent froid, bon indice sur la fiabilité de ces bonimenteurs.

Une dernière fois, j’abats ma main à plat sur le monument mystérieux, presque une gifle de défiance. Mais non, aucune vision ne m'est accordée.

C'est alors que je me prépare à faire volte-face que, de l'entrée de la place, une voix douce mais puissante me lance une salutation.
- Ne te fatigue pas, Saanak Ehng, ta vision, c'est moi qui l'ai eue.

Un individu mat de peau, la moitié du visage lourdement tatouée, si androgyne que je ne saurais deviner si c'est un homme ou une femme. Il, elle, me fait signe d'approcher, avec un sourire accueillant [INT], et je suis troublé. Comment cet étrange personnage connaît-il mon nom ? Et peut-il vraiment avoir obtenu MA vision à ma place ?

- Explique-toi, lui lancé-je. Et dis-moi donc qui tu es ?

- Je suis ton ami, Saanak l'Égorgé. Et mon nom est Buldan Covell, même si beaucoup me nomment juste Le Trouvère. Je connais également Nesgoth, et suis en général bienvenu chez lui…

- Alors tu es un homme, c'est cela ?

- Presque. Pas tout à fait. Mais assez pour être appelé ainsi, si tu veux. Et viens donc prendre un godet de vin chaud avec moi, et je te dirai ce que je sais, ce que je devine, et ce que je te veux.

J'accepte son invitation, après avoir vérifié que ma dague soit bien calée et accessible, et il me mène sans un mot de plus vers les marchés de la ville, jusqu'à ce qu'il trouve une taverne à son goût.
Je décide de prendre patience tout ce temps, tout en étudiant cet étrange compagnon de la tête au pied. [INT] Il porte, en plus de quelques protections de cuir, des vêtements aussi incolores que les miens. Mais en même temps, tout est propre, et bien ajusté chez lui. Comme moi, feint-il la pauvreté pour plus de discrétion ? Et je ne vois pas d'arme sur lui. Habileté, ou assurance ?

Alors que nous nous attablons, ma tête bourdonne toujours de questions, mais je compte bien le laisser parler en premier, avant de me révéler à lui d'une quelconque façon…

[Kobayashi]

Une de mes séries préférées continue, merci !

[Saarlander]

Buldan n'est pas avare en parole, une fois installés. Il me parle longuement de la lutte entre les Seigneurs de la Loi et du Chaos, de notre monde et d'autres, de l'avènement de la fin des temps si un parti devait l'emporter sur l'autre.
Il est éloquent, passionné, et, malgré ma méfiance initiale, je me retrouve à boire ses paroles, surtout lorsqu'il se met à parler de moi…

- L'obélisque est vieux, peut-être un peu sénile aujourd'hui. Mais il continue d'accomplir sa tâche ; délivrer des visions pour faire barrage à la fin du monde. Le passé, le présent, l'avenir, tout se mélange dans ce qu'il donne. Ce sont des bouts de ta vie que j'ai vus lorsque je l'ai touché. Ce sont les forces du Chaos ou de la Loi qui t'ont sorti de l'océan et ont préservé ta vie après ta chute. Tu es un élu, comme moi. Un soldat de la plus grande des guerres. Tu as dû le sentir dans tes os, ta chair et ton âme, non ? Un monde plus grand, une soif d'aventure et de sang. Tes blessures se referment en quelques heures, là où d'autres péquins souffriraient des semaines. Ton cœur contient un courage nouveau, un souffle de grandeur et de détermination.

Il s'interrompt un instant, le temps d'une gorgée de sa pinte, et guette mes réactions.

- Mais le plus important, c'est que comme nous tous, tu as le choix. Peu importe qui t’a sauvé, tu ne leur appartiens pas pour de bon. Ils ont fait un pari. Et c'est toi qui va décider de leur réussite, ou de leur défaite…

Cette fois, il plonge son regard vif et sensuel droit dans le mien.

- Mais tu peux décider encore mieux que ça ! Tu peux décider d'accorder la victoire au Monde tout entier. Lutter CONTRE la fin des temps. Il n'est pas trop tard !

[Jet d'alignement du monde: Neutre][[/b]Introduction des Dés d'Usure Cosmique : Loi et Chaos Ud8[/b]]

Il me laisse le temps de digérer ces déclarations, avant de continuer, presque dans un murmure cette fois.

[Jet de création d'antagoniste principal]

- Tu as déjà eu affaire à la Guilde et ses mercenaires. Mais sais-tu qui est leur véritable maître ? Dans le Califat, loin au Sud, les Seigneurs de la Loi ont créé un Roi Automate, qui enfante par centaines des créatures de cuivre et de bronze, se préparant à les lancer à la conquête du monde. La Guilde lui fournit les matières premières pour ces terribles desseins, et lui sert d'yeux et d'oreilles de par le monde connu.

[SAG] Je réprime un frisson, le souvenir de l'attaque nocturne de l'araignée mécanique encore vif dans ma mémoire. Ce que me raconte Buldan me semble trop immense pour être vrai, et pourtant j'en sens la véracité dans tout mon être.
Cette sensation de grandeur nouvelle, de possibilités infinies… et le prix à payer. Mon esprit essaie de se débattre dans ces idées terrifiantes.

- Je ne suis peut-être pas l'homme que tu recherches, Trouvère, lui dis-je. J'ai à peine réussi à sortir de l'ombre de mon frère, à me débarrasser de la crainte de notre maître. Et puis avec quelle armée veux-tu combattre les menaces dont tu me parles ? Je fuis encore la rancune d'une pauvre dizaine de mercenaires de simple chair et de sang. Et je ne vois que nous deux à cette table…

- Saanak Ehng ! m'interpelle-t-il en riant. Tu te sous-estimes, pour commencer. La lutte pour la liberté nous renforce chaque jour. Refuse de subir ta vie ! Ne sois pas le simple jouet du Destin ! Tu seras bientôt bien plus puissant que tu ne le soupçonnes.
Et tu veux une armée ? Alors invoquons-la ! Il nous faut attirer l'attention du Chaos sur notre monde avant que le Roi d'Airain ne se mette en mouvement. Je t'apprendrai comment faire. Alors les deux camps se battront à armes égales. Et notre tâche à nous sera juste d'éviter que l'un ou l'autre ne l'emporte.

- Mais c'est plonger le monde dans…, dans mon esprit ma voix se superpose à celle de la sorcière, et les mots viennent mourir sur mes lèvres,... dans une Guerre Éternelle…

- Elle a déjà commencé, mon ami. Et c'est la seule alternative si nous choisissons de vivre. Nombreux sont ceux qui, par dépit, ou en quête de gloire, vont rejoindre l'un ou l'autre des camps. Et qui mourront, broyés par l'Ordre ou dévorés par le Chaos.
Mais sur la fine ligne qui sépare ces deux funestes destinées, nous pouvons être les héros de l'équilibre. Tu as échappé à une mort indigne une fois, ne veux-tu donc pas recommencer. Tu as déjà dédié ta vie à la lame et à l'or, il te suffit de faire un pas de plus pour mettre les deux au service de notre survie à tous ! Et crois-moi, ce n'est pas une vie ennuyeuse, ni dénuée de plaisirs…

Plus il parle, toujours si passionné, si vivant, moins j'hésite.

Et lorsqu'il me tend soudain la main par-dessus la table, je la saisis presque immédiatement.

[Saanak Ehng s'aligne sur la Balance. Tant que les deux camps sont à égalité, son Dé de Fatalité passe à Ud8]

[childeric maximus]

Excellent, merci.

[J.O.]

J'adore !

Merci !