C'est vrai qu'un peu de psychologie devrait aider à ouvrir une porte. Avec un jet de persuasion ou de baratin, si on lui dit ce qu'elle veut entendre. Genre "Sésame, ouvre toi !". On peut aussi baratiner la personne qui a les clés, quel que soit le système.
Plus sérieusement, la psychologie était pourtant bien présente dans les exemples de parties de ces livres, comme lorsque les deux chevaliers se présentent au début (l'un court les tournois pour se faire de l'argent et un nom, l'autre rentre des croisades) ou dans le duel de mages par exemple (chacun tentant d'anticiper les actions de l'autre pour exploiter au mieux ses propres sorts).
Pour le reste, si Pierre Rosenthal estimait que TdL était plus bourrin avec les portes qu'AD&D, c'est sans doute parce que le livre 4 n'était pas encore sorti à ce moment (avec l'assassin et son crochetage) et qu'il n'y avait donc pas l'équivalent du voleur. Il avait donc peut-être raison au moment où il a rédigé sa critique, parce que le jeu n'était pas encore complet.
En tout cas, c'était sympa de ressortir cet article