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>J'ai jamais dit le contraire. je parlais de généralité.
Relis le message precedant : Difficile de croire dans l'enchainement des deux premieres phrases que cherche à m'exclure de cette generalité.
>Les écoles en zones prioritaires sont elles les seules à être touchées par une baisse de l'autorité des profs sur leur classe ?
On est dans le relatif c'est sans signification.
>Pour répondre à cette question, un seul moyen : écouter les enfants qui sortent de l'école parler de leurs professeurs.
Je revois encore y'a deux ans les gamins evoluer autour de la maitresse comme des abeilles autour du miel. A mes remarques "Waou qu'elle classe difficile !" l'instit n'avait d'autre reponse qu'un grand sourire. Certe c'etait en maternelle mais c'etait le meme groupe scolaire (le batiment d'en face quoi) et les memes eleves. Donc la reponse est : si difficulté il y a elles me semblent gerables.
>Le problème vient il donc du professeur ?
Tout depend ce que tu appelles le probleme. Eric est un enfant de parents séparés je te le rappelle. Ce ne sont jamais des enfants aussi sain dans leur tete que les autres. Quoi que tu fasses tu ne peux que limiter les degats mais y'en a toujours enormement.
>Là où je ne comprends pas, c'est ta réaction démeusurée par rapport à ce refut, qui apparemment te tracasse beaucoup, et les arguments que tu met en avant concernant ton petit garçon qui lui sont "personnels" (le fait qu'il a un peu de mal avec les relations sociales, le fait que ça le déprime etc.) et non pas des arguments objectifs qui pourraient coller à n'importe quel autre gamin de sa classe.
Mais pourquoi voudrais tu que je traite Eric comme n'importe quel enfant ? Mon fils n'est pas un enfant, c'est MON enfant. Je le traite comme sa personnalité demande qu'il soit traité, parfois ca induit d'etre plus ferme/moqueur pour le remettre en place et parfois ca induit d'en prendre soins sur des points clefs.
Qu'un prof de college qui voit ses eleves 2heures par semaines s'en contrefasse je trouve ca normal, qu'une instit qui passe 8h par jour avec eux et qui le connait depuis un an ne le fasse pas m'etonne plus.
>le professeur va sans doute regretter que tu ne l'as pas prévenu, tandis que toi tu vas regretter de ne pas être averti.
Oui c'est comme ca que ca termine.
>On a presque l'impression que c'est un devoir pour le prof de prévenir s'il n'autorise pas les gouter ou s'il a changé d'avis à ce sujet d'une année sur l'autre. Moi je pense que ce détail ne fait pas partie de sa fonction.
Tout depend de l'importance que tu donnes au bonheur de l'enfant. En l'occurence le prix à payer etait bien peu de chose et pour Eric ca comptait manifestement.
>Oui, le professeur te doit des comptes sur la façon dont il traite ton fils, psychologiquement et physiquement, mais DANS LE CADRE de ses études. Ni plus, ni moins. Dès que ça sort du cadre des études, ce n'est plus de son ressort.
Non quiconque "interagit" avec mon enfant me doit des comptes sur son comportement avec lui sans exception aucune. Que ce soit un serveur au mac do, un garde champetre au parc ou un flic ou un prof ou un autre eleve. Si à l'avenir tu veux penser le contraire avec tes enfants ca te regarde, y'a UNE bonne facon d'elever un gamin de toutes facons il n'existe que mauvaise et chacun choisit la sienne.
>Si mon gamin fait une dépression : ça relevera de la compétence d'un médecin pas du prof.
J'ai parlé de refiler une depression, d'en etre la cause pas la solution.
>Une personne n'est jamais "à elle seule" à l'origine d'une dépression.
Y'a toujours un terrain propice à la depression si depression il y a mais en se defoulant sur un enfant tu peux tres facilement reussir ton coup sans le vouloir.
>Un prof ne peut pas "coller une depression" à un gamin. Pas à lui seul en tout cas, et pas en refusant un gouter.
Tu melanes tout, j'ai jamais dis qu'elle allait coller une depression à Eric. J'ai dis qu'elle aurait pu evité de le decevoir à si peu de frais. Par contre j'ai ce regard sur le comportement d'autrui vis à vis de mon fils pour eviter ce genre d'extremité. C'est tres different.
>Non, parce que c'est du domaine de l'affectif profond. Ce qui n'empêche pas des personnes extérieures de te donner leur avis objectif sur la question, après t'avoir écouté évidemment...
>Pourquoi dans ce cas fait tu part de tes sentiments personnels au départ ? Si tu ne recherches absolument pas les avis des autres, pourquoi étaler ce problème sur une place publique ? Pour qu'on te plaigne tout simplement ?
On s'est mal compris
Tu m'as fait remarqué que ma reaction etait emportée et basée sur l'affectif, comme si je devais/pouvais faire abstraction de cela dans ma reaction, reflexion. Hors c'est pas possible de me le demander.
Bou |
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