Message:
La nuit fut mouvementée pour le pauvre BARTAB
couché après une bonne douche vers 1h du mat, après 10 min je sentais déjà la sueur revenir, mais du fait de
la journée de fou que j'avais passée + le road + les courses + la chaleur + sans doute les restes du
déménagement et le fait que mon genoux refait des siennes, je m endormis rapidement. Mais pourquoi je raconte
ma vie hein??? Bah en fait pour une fois que je me rappelle d'un rêve, autant vous le raconter:
Acte 1
BARTAB est au volant de ce qui semble être une safrane ou une laguna, derrière se trouve un nouveau couple de
mes amis palaisiens. Nous sommes sur l'autoroute en direction du Mans. Nous chantons à tue tête "Rape me" de
Nirvana. Devant nous roule un traffic ou se genre de véhicule. Tout à coup les portes arrières s'ouvrent,
apparait un mec avec un fusil de chasse, il tire dans le parbrise qui devient oppaque mais ne se brise pas
(???)
Grand cris dans la voiture, emardées, mais on reste derrière le véhicule. A ce moment là, le torse du mec
souvre comme une fleur, immaginez le torse s'ouvrir en 5 pétales et deux "tentacules" végétales sortir de ce
corps. Les tentacules fracassent les vitres arrières de la pauvre Renault, saisissant le couple et le sortant
"tenaculi militari" de la voiture.
Fondue au noir, Panne de son, panne d'image.
Acte 2
Je surplombe la scène comme si j'étais au balcon. Sous moi, un cimetiere, ma famille, mes amis autour d'une
tombe que je devine être la mienne. Je suis en colère je ralle, je crie, j'explose je ne veux pas être
enterré, je veux être incinéré. Personne ne m'entend. Une belle jeune fille au cheveux brun long et fin, yeux
bleu acier est assi à coté de moi. Elle me sourrit, cligne de l'oeil et tourne la tête vers le couple qui lui
aussi est present. Morgane à une fleur dans les cheveux, Cyril à sa boutonnière. Impression étrange que les
fleurs se tourent vers nous et nous regardent. D'un claquement de doigts, d'un rire discret la jeune fille
devient plus "lumineuse". En bas la céremonie dégénère, des voies montent et critique la mise en terre. Une
bagarre commence. Les fleurs se mettent à pousser qui de la chevelure, qui de la boutonnière. Elles se
transforment en roses aux tiges démesurées, aux épines comme des couteaux, aux pétales d'un rouge sombre
presque noir. Elles encerclent tous les protagonistes.
Je me tourne vers la jeune fille qui me sourrit encore, je me noie dans son regard, je comprends que j'ai
trouvé l'Amour, pure, violent, celui qui glace, brule, corrompe et pourtant si recherché.
Les roses porte maintenant le cerceuil à notre niveau, le public hurlant, saignant est devenu un cocon de
masse informe qui est progeté dans la tombe. Le couple s'assoie sur les bords de celle-ci, et leur bouche se
rejoigne au dessus du trou sombre remplit maintenant de sang et de cris. Les plantes poussent toujours, et en
quelques secondes, il ne subsiste qu'un superbe bosquet de roses.
Le cercueil maintenant à notre niveau bascule de façon à présenter le couvercle comme une porte. les roses
ouvre le cerceuil. C'est une porte, on aperçoit un paysage de prairie derrière. Prenant la main de la jeune
fille, nous traversons.
Grand lumière blanche... puis je me reveille.
Je jette un oiel sur le radio reveil il est 3h28... je suis en sueur, j'ai du mal à respirer, j'entend le
bzzzzz d'un moustique autour de moi.
J'ai passé après quelque chose comme 30min avant de suprimer l'insecte importint, j'ai mal au genou, je boite
vers la porte fenetre, entrouve les volets et ouvre grand celle ci. La chaleur et l'odeur du goudron chaud
emplissent l'apparte. Je ne sais pas combien de tremps je suis resté assis par terre devant la fenetre. A un
moment, je me suis levé, j'avais moins mal au genou, j'ai pris une douche et préparé mon petit déj.
Dite Sigmoun c'est grave? C'est quoi la moquette que j'ai fumé encore???
BART6AB qui se pose des questions |