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... quel samedi "lose"...
Mon seul samedi en France avant le mois de Juin, et il part dans le n'importe quoi...
D'abord, je devais bouffer chez une amie et rejoindre les potes dans un de nos lieux de perdition habituel, mais la soirée s'est pas vraiment passée comme prévue.
L'amie en question s'est vue envahis d'amis à elle pour faire une soirée Star Academy (y a des fois, je vous jure), mais c'était pas grave, les potes allaient au resto, donc je les y rejoins (sauf que Superfriand avait oublié de m'appeler, et une fois là -bas pas moyen de rappeler Shaniah avant qu'il ne soit trop tard).
Bref, le resto se passe bien, c'est bon esprit, je tombe même virtuellement amoureux (il m'arrive un truc très bizarre avec les Françaises pour ces fêtes), mais ensuite c'est le drame.
Les potes des potes veulent aller dans un bar que je ne connais pas, bon, je préférais aller en "lieu sûr", mais bon pourquoi pas essayer quelque chose de nouveau. Sauf que c'était nul... On arrive à motiver les potes pour en sortir, mais on atterit dans une boite qui donne envie d'y mettre des bombes... Dès l'entrée, le physionomiste nous prend pour des cons. Genre, il nous regarde de très haut comme si on était de la merde et qu'on était à la boite la plu hype de NYC ou Londres (et non, perdu, on est à Toulouse, la ville où la seule boite un peu connue en dehors du département ne se prend pas pour le centre du monde).
En général, quand un physio me traite comme ça, c'est fini, je sais qu'il n'y aura rien à tirer de cette boite. Au moins j'espèrais qu'il allait nous refuser l'entrée avec ce regard de merde posé sur nous (et puis on était sapé normal, comme on est sapé tous les jours). Même pas. Il nous laisse entrer...
Alors ça c'est le comble du pathétique. Un physio qui se prend pour le portier de l'endroit le plus cool du monde et qui te laisse entrer quand t'es même pas fringué pour sortir, c'est le degré zéro du respectable pour moi.. Quand j'ai entendu la musique (mauvaise électro) et vu le vestiaire obligatoire, j'ai décidé que je ne resterai pas une seconde de plus dans cet endroit pathétique, et partais avec Tom (Superfriand, lui restait, il vous racontera l'intérieur si ça lui chante, il est pas encore revenu (ou alors il est revenu il y a longtemps et il dort).
Tom et moi avons enfin atterri dans un lieu fréquentable (le Café populaire pour ceux qui connaissent), mais on était plus que deux, et il était bien tard, trop tard pour une grosse beuverie et rencontrer autre chose que de la viande soule... Mais bon au moins ça évité que la soirée soit totalement gachée... |
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