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Les chinois font n'importe quoi avec les JO.(outre la video )
Et pour le moment pas bcp d'opinion se levent contre l'offensive chinoise à Lhasa.
Que le Vatican se taisent, passe encore ( officiellement c'est parce qu'il n'ont aucune communauté sur place pour rallier les infos officieusement c'est des relations avec Pekin qu'il faut sauvegarder.)La "Stampa" estime que le Vatican "ne dérange pas Pékin en échange de la liberté de gérer l'Eglise catholique en Chine"(mais bon ).
Que Paris se taise (Nicolas 1er a des accords encore en vue, mercantiles, avec la Chine, je ne cautionne pas mais je peux "comprendre" la vénalité.
Qu'on cache des infos essentielles au monde entier, et qu'on muselle le web chinois, je ne comprend pas non plus mais on subit.
La seul source fiable d'info étrangère sur le territoire c'est lui.Le correspondant de The Economist est le seul journaliste occidental officiellement présent dans la capitale tibétaine. Il raconte ce qu'il a vu depuis le début des émeutes.Et on est loin des magasins incendiés par centaine par des moines en furie, décrits par les journalistes chinois.
Mais qu'ils prennent comme prétexte de faire passer la flamme olympique (un acte A( A en grec, comme anti)politique, car sportif)par le camp de base de l'Everest, non, car derrière il y a une volonté d'ingérence non dissimulée de la part des Chinois.
Explication a travers un article du C.I.
Les partisans de l’indépendance du Tibet voient rouge. Pour beaucoup, l’ascension de la torche est simplement un autre moyen qu’a trouvé le gouvernement chinois pour planter son drapeau sur un Etat qui était indépendant jusqu’en 1951. L’expression de la cause tibétaine est liée aux alpinistes. On se rappelle que, l’année dernière, des grimpeurs qui gravissaient le Cho Oyu ont vu des soldats chinois tirer sur des réfugiés tibétains qui tentaient de passer au Népal et tuer une religieuse tibétaine. En janvier mourrait un Grand de l'alpinisme et de la cause tibétaine, le Neo zélandais Sir Edmund Hillary, qui a bcp fait pour l'amélioration des conditions de vie des sherpas de toutes nationalités en Himalaya.Lui dénonçait déjà les routes motorisés du coté chinois pour atteindre le camp de Base.
Mais, en général, dans la décision d’ouvrir une route de montagne, ce qui importe n’est pas tant le fait de transporter une torche ou un drapeau que d’en obtenir des retombées financières. En 1996 – l’année de la catastrophe rendue célèbre par Jon Krakauer dans Tragédie à l’Everest –, quelque 98 grimpeurs étaient arrivés au sommet. La saison dernière, ils étaient plus de 600. C’est sur le versant chinois de l’Everest que l’augmentation de la fréquentation est la plus forte, si bien que le camp de base chinois est devenu une sorte de ville-frontière.
Lors de ma dernière visite, en 2006, plus de 80 grandes tentes s’étalaient au bout de la route menant au camp de base. Des Chinois et des Tibétains y proposaient de l’alcool, des lits de camp, des repas et du matériel de montagne. Prostituées et proxénètes interpellaient ouvertement les alpinistes occidentaux ; les calèches tibétaines, sortes de minidiligences colorées, proposaient des tours jusqu’au monastère de Rongbuk. Des médecins de la région m’ont dit qu’en plus des traditionnelles engelures et du mal des hauteurs ils traitaient désormais chez les alpinistes de retour du camp de base de nombreuses maladies vénériennes et blessures reçues dans des bagarres. Le gouvernement chinois semble parfaitement conscient de ce qui se cache derrière la belle image qui est donnée de la montagne que les Tibétains appellent Chomolungma, la “déesse Mère de l’Univers”. Les grimpeurs qui testaient les torches, le mois dernier, avaient apporté un matériel encore jamais vu dans l’ascension de l’Everest : des fusils, portés par des soldats mis en faction à l’entrée du camp.
La j'ai tendance à vouloir buter du chinois.....
sources Info-Himalaya, Courrier International et Nepalnews.
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